â?¦ Une bagarre.
Tableau vivant de corps, de cris, d'une lutte acharnée anti-coupables, < > anti-voyeurs, anti-douleur.
La salle d'attente, un peu statique, à part quelques contorsions de douleur, depuis déjà quelques dizaines d'épisodes était maintenant pleine de mouvements. Les hommes politiques retranchés, mais bousculés, les gardes du corps, assaillis par la foule (Géricault, une peinture!).
Griz, réveillée en sursaut, avait sorti son smartphone et prenaient quelques clichés le-mauvais-goût-a-du-vintage-dans-le-filtre.
Ã?tait-ce la fin ? Du feuilleton, de la démocratie, de l'épidémie ?
Non. Personne n'avait encore envie que ça s'arrête. Quand une bagarre commence, oh le temps, suspend son vol. Complètement. L'assaut, ça se respecte.
A suivre.