7 choses qu’on ne nous cache pas sur le tapis de fleur de la grand-place

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A man. A plan. 500 000 flowers.
Monsieur le commissaire, je voudrais dénoncer une exploitation de main d’oeuvre illégale… non, non ils sont Belges enfin… Flamands mais juste trop jeunes quoi

Chef d'oeuvre in progress

  1. C’est une échevin bruxelloise qui en a eu l’idée en découvrant un (petit) tapis à Audenarde.
  2. En 1971 les automobilistes ont été privé du plus beau parking du monde pour le premier tapis
  3. La Comisiòn Gestora Internacional de Alfombristas de Arte Efímero est la – pour simplifier – fédération mondiale des tapis de fleurs et autres trucs urbains éphémères. A part les Japonais et Bruxelles les autres sont à connotation religieuse.
  4. Les six euros pour l’entrée et « oh punaisan Jean-Louis regarde comme c’est joli, on a pas ça nous dans le 12e » depuis le balcon vont à la ville de Bruxelles. C’est pas pour ça qu’elle rentre intégralement dans ses frais.
  5. Les 14 producteurs de (bulbes de) bégonias qui restent vendent les fleurs pas trop cher mais quand même bon hein
  6. La principale dépense : les frais de personnel. 53 étudiants ça se paie, c’est comme ça, mon gros lapin.
  7. Les Mexicains ont insisté pour avoir un peu de pyrotechnie. Le mal du pays, qu’est-ce que tu veux… le doux bruit des assassinats des cartels de drogue doit leur manquer.

2 COMMENTS

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