Entendu à Bruxelles : Je suis un exilé culinaire

2
1951

Drapeau européenJeudi soir, le Botanique organisait une soirée avec Les Inrockuptibles.

Je suis allé à la rencontre avec Olivier Mouton (Journaliste au Soir), Charles Bricman (auteur de Comment peut-on être Belge ?, Flammarion) et Pierre Siankowski (Grand reporter aux inRocKuptibles) – autour du thème : Bruxelles, capitale d’une Belgique à venir ?

Personnellement, j’ai trouvé cette rencontre un peu décevante car entendre deux Belges parler de la problématique belge, cela ne nous apprenait rien. J’eus préféré que Pierre Siankowski nous expose plus qu’il ne l’a fait l’avis des journalistes qui ont commis l’hors série des Inrocks sur Bruxelles

Enfin soit. Pendant ce petit débat a été évoqué le fait que certains Bruxellois n’appréciaient que très peu les avantages des eurocrates.

C’est là qu’un Français est intervenu. Le cher eurocrate se trouve à Bruxelles depuis mille neuf cent quatre-vingt-dix-huit et estime ne pas être trop payé. « J’ai dû, comme d’autres, quitter mon pays… » SIC.

Le brave homme précise : « J’ai l’habitude de dire que je suis un exilé culinaire. Vous savez, moi je ne m’y retrouve pas avec la cuisine. »

De là, à justifier un salaire plus élevé et des avantages à cause de la cuisine, il y a un pas que ce monsieur semble avoir ostentatoirement franchi.

Et dire qu’il se plaignait de « EU bashing… » Mouhahahha

2 COMMENTS

  1. Pour parodier « les tontons flingueurs » d’un de meilleurs dialoguistes: « Les français, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît »…

LEAVE A REPLY